Comment devenir plus résilient.e et apprendre à rebondir dans sa vie ?

Faire preuve de souplesse face à l’adversité, n’est pas donné à tout le monde. Il y en a qui arrivent à rebondir, d’autres qui perdent l’équilibre, voire qui ne se relèvent pas.

Je t’explique dans cet article comment augmenter ta capacité de résilience.

La « résilience » c’est la capacité mentale à rebondir, ou résilience mentale, est considérée comme un trait de caractère qui définit quel impact le stress et/ou l’adversité auront sur une personne. Plus la résilience est grande, plus l’impact sera réduit.

Une question de choix

La capacité à rebondir est aussi liée à la persévérance et à la conviction que les choses ont un sens. Et la faculté de ne pas se braquer sur le négatif est aussi décisive ; savoir accepter qu’il y a de bons jours et des moins bons. Et comprendre que nous sommes responsables de nos actes : nous avons le choix entre prendre l’initiative et subir les problèmes en victime, voire appliquer des stratégies d’évitement. « Je ne peux rien y faire », « C’est la faute des autres », « On parie que ça va rater, avec ma chance… », « Ce n’est pas juste »… Voilà des phrases que tu n’entendras pas dans la bouche d’une personne résiliente.

Ne pas oblitérer le négatif

Être résilient ne signifie pas pour autant voir que l’aspect positif des choses et faire la politique de l’autruche. Le mot “résilience” indique à la base la capacité de certains métaux à reprendre leur forme originale après avoir subi une forte pression. Et c’est de ça qu’il s’agit : accepter qu’on soit cabossée, mais qu’on va s’en remettre. On peut réprimer la douleur et la souffrance qui accompagnent l’adversité, mais ce n’est pas une stratégie résiliente dans l’approche du problème. Au contraire, car un traumatisme peut laisser de grandes cicatrices si vous ne le traitez pas, si vous ne prenez pas conscience de ses effets sur vous. T’intéresser activement à ton état d’âme est une étape importante dans ce processus qui permet de remettre les choses en perspective, de retrouver le mouvement de la vie et d’agir.

Ne pas ressasser le passé

Il est très important de ne pas ressasser ses frustrations quand quelque chose ne va pas. Oui, il faut pouvoir exprimer sa frustration, mais tout en restant conscient qu’une solution est possible et que cela ne sert à rien de se laisser emporter dans un flot de désespoir. C’est aussi cela, la résilience : croire qu’il existe toujours des alternatives, qu’on est rarement totalement impuissant.

Comment travailler sur ma résilience ?

Naît-on résilient ou est-ce une compétence que l’on peut apprendre ? La recherche démontre de plus en plus clairement que plusieurs de nos gènes du stress fonctionnent comme un interrupteur on-off. Ceux qui n’ont pas connu de liens sécurisants et sains dans la petite enfance ou, pire encore, ont été exposés à des expériences stressantes et traumatisantes verront malheureusement ces interrupteurs définitivement en position on. Du coup, le système de survie sera beaucoup plus alerte et réagira plus intensément au stress. Certaines études démontrent effectivement un lien avéré entre la résilience et la qualité du lien avec les parents.

Et il y a d’autres bonnes nouvelles : on peut créer soi-même des circonstances qui contrent le désespoir, qui nous permettent de mieux gérer le stress et la tendance aux ruminations.

Comment trouver la bonne façon d’affronter les difficultés :

  • Crée en toi un espace pour comprendre tes névroses, prendre tes responsabilités au lieu de se poser en victime. Le fait de respirer profondément et en conscience ou de méditer va rééquilibrer les émotions agréables/désagréables, les pensées positives/négatives, la tension et la détente corporelle.

  • Plus on se déconnecte, moins on sens à l'aise en société et plus on se sent exclu.

  • Ne laisse pas l’enfant en toi prendre le contrôle et attendre un signe de l’extérieur.

  • Pour chaque névrose, il existe une réponse, un contre-mouvement qui permet de reprendre la posture juste et de revenir à la vie. On s’est déconnecté ? Alors, ancrons-nous dans la réalité. Oui, j’ai peur, mais je reste là, en contact avec le réel, sans ruminer. Et je me demande : de quoi ai-je besoin ? de me reposer ? d’appeler un ami ? Alors je le fais.

  • Même quand on se croit fini, on a toujours au moins une once de ressources à l’intérieur de soi. Ici aussi, de quoi avons-nous besoin pour tenir debout par nous-même : manger sain ? bouger ? de calme ? Et on se l’accorde.

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Antonia Carvalho

Je m'appelle Antonia, je suis Coach | Mentor & Auteure.

J'aime aider les autres à vivre une vie plus saine et épanouissante.

Je te guide pour que tu puisses réussir ta vie, et que tu sois heureux.se. 🌟 💙

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